Comment on Ritaline : intérêt et risques chez l'enfant by Geneviève.
Bonjour,
Mon fils de 7 ans a été diagnostiqué avec TDAH. Il prend du méthylphénidate depuis 2 mois environ. Les effets positifs sur sa concentration sont très visibles : il a moins de problèmes à l'école et nous arrivons à faire des choses sans se fâcher constamment. Par contre, j'ai l'impression que pendant les moments où il n'est plus sous couvert du médicament (soit à la fin des 4 heures s'il prend sous forme LI, soit à la fin des 12 heures s'il prend sous forme LP), son comportement s'est aggravé, c'est-à-dire, il a l'air d'être encore plus insupportable et ingérable que quand il ne le prenait pas. Le psy qui le suit ne croit pas que cela puisse être possible, il pense que nous avons oublié comment c'était sans médicament (!), mais pourtant je vois une nette différence : avant, il y avait des moments où il se comportait normalement, maintenant, quand le médicament est à sa fin, il est toujours excité et n'écoute rien, il n'y a plus de répit. Ce qui veut dire que les matinées (pas de médicament encore) et les soirées (le médicament est en fin d'action) sont un cauchemar. Pensez-vous que des aggravations temporaires pareilles sont possibles ou c'est vraiment le fruit de notre imagination et comment pourrait-on essayer d'y remédier ?